L’Unité virtuelle de soins (UVS)

Objectif du projet

Objectifs généraux : 

  1. Rassembler, dans un environnement virtuel, des scénarios authentiques ainsi que des situations cliniques validées pour faire face à la sous-exposition des professionnels de la santé à des situations moins fréquemment rencontrées en milieux cliniques.
  2. Démocratiser la formation des professionnels de la santé à l’aide d’un simulateur innovant, accessible et efficace faisant appel à la technologie de la réalité virtuelle. 

Objectifs spécifiques :

    1. Développer des scénarios et les mettre à jour en répondant aux besoins de développement des personnes professionnelles de la santé, et spécifiquement des infirmières et des infirmiers.
    2. Étudier les effets des interactions entre les personnes utilisatrices et le simulateur sur les apprentissages et sur le fonctionnement cognitif des personnes professionnelles de la santé.
    3. Démontrer les effets de ce nouvel outil pédagogique sur le développement des compétences professionnelles, et donc, sur les apprentissages.
    4. Adapter culturellement et déployer le simulateur dans l’ensemble de la province de Québec et dans la francophonie en utilisant une technologie adaptée, dont la réalité virtuelle immersive et non immersive, pour favoriser l’accessibilité des différents milieux à un outil pédagogique original et sécuritaire.

Description du projet

L’Unité Virtuelle de Soins (UVS) est un hôpital numérique offrant quatre modules de formation pour le personnel infirmier qui souhaite développer leur expertise en lien avec la surveillance clinique en soins critiques, l’obstétrique et l’oncologie. Un module permet également de développer des aptitudes en collaboration interprofessionnelle, mais aussi les médecins avec un module dédié à la gérontologie. La mise sur pied de cet outil pédagogique, soutenu par la recherche scientifique et les modèles théoriques, émane du corps professoral en sciences de la santé de l’UQAR, Daniel Milhomme, Frédéric Banville, Andrée-Anne Parent. Durant la dernière année, des personnes chercheuses de l’UQAR, du réseau des universités du Québec, du réseau des cégeps du Québec, de FADIO ainsi que des personnes collaboratrices des milieux cliniques et d’autres universités et hautes écoles de santé de la francophonie à l’international se sont joint à ce projet innovant.

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